Article dans Le FIGARO ÉCONOMIE, 19 février 2020

Le Figaro reprend l’exemple impactant de plusieurs dirigeants, membres des EDC :

Ils transforment leurs sociétés, les dotent d’une raison d’être et assurent œuvrer pour le bien commun.

Et si, avec leur audace d’entreprendre en chrétiens, portés par leur volonté d’œuvrer pour le bien commun, les Entrepreneurs et dirigeants chrétiens (EDC) incarnaient la vraie modernité ?

(…) »Dans son secteur, extrêmement compétitif, François Vigne est atypique. Il a opté pour une rémunération identique pour tous : « Au lieu de récompenser les chasseurs de primes, nous développons l’entreprise », relève-t-il. Il conseille parfois à ses clients de ne pas réaliser certaines opérations, les estimant néfastes pour leur équilibre, quand bien même Sycomore Corporate Finance aurait à y gagner »

(…) »Philippe Royer veille à la juste rémunération des producteurs de lait, est très impliqué dans la réinsertion des prisonniers et emploie 130 personnes handicapées. Il y a cinq ans, il a repris une librairie culturelle à la barre du tribunal de commerce, la faisant passer de 17 à 22 salariés. « Je n’ai pas réalisé cet investissement pour gagner de l’argent, mais pour que demeure un certain rayonnement culturel dans ma ville. L’argent est un moyen, pas une finalité »

La « soif de servir » d’un dirigeant engagé

(…) « Chez Eyrial Menuisiers, Martin d’Avezac assure tirer sa force auprès de ses vingt salariés : « Je sens chez eux une grande confiance, j’en ai besoin, et cette confiance m’oblige ». Ce qui ne l’empêche pas d’être exigeant, tout particulièrement en matière de services et d’engagement auprès des clients : « On travaille pour les autres, par pour soi », assure-t-il. Il a très peu de turnover dans son entreprise, et s’il doit se séparer de collaborateurs, il fait en sorte que les choses se déroulent bien »

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