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Le monde des affaires est celui des entreprises dont le but n’est pas uniquement la production du profit mais sa pérennité comme communauté de personnes.
Texte d’une conférence de Nicolas Masson donnée aux membres EDC sur le salarié en tant qu’acteur de l’entreprise.
Les structures de péché sont le résultat d’une accumulation de péchés personnels sociaux ou non. Cette accumulation crée à la longue des faits de société qui par leur influence créeront une vraie disposition aux péchés personnels.
La subsidiarité au sein des grandes organisations publiques : des progrès à accomplir ! Un récent rapport de France Stratégie sur l’action publique48 formule d’entrée de jeu un constat, auquel il cherche ensuite les moyens […]
Dans la subsidiarité, je résous le problème de mes adjoints en me souciant de leur capacité à prendre des responsabilités.
Le travail de l’homme est principalement effectué en subsidiarité par rapport à la création de Dieu et cela dès l’origine : Caïn et Abel ont chacun un métier, indépendamment de leur relation à Dieu, qui est inégale. (…)
« Il est plus digne d’utiliser l’intelligence, avec audace et responsabilité, pour trouver des formes de développement durable et équitable, dans le cadre d’une conception plus large de ce qu’est la qualité de vie. Inversement, il est moins digne, il est superficiel et moins créatif de continuer à créer des formes de pillage de la nature seulement pour offrir de nouvelles possibilités de consommation et de gain immédiat. »
Laborem exercens est une encyclique sociale du pape Jean-Paul II, publiée en septembre 1981 qui aborde les questions de travail et de propriété.
L’encyclique Caritas in veritate est la première encyclique sociale du pape Benoit XVI (et la troisième de ses encycliques). Il y évoque la subsidiarité.
Dans le domaine de l’entreprise l’idée de subsidiarité joue, depuis ces dernières années, en Europe et en Occident en général, un rôle croissant. Un précurseur tout à fait inconnu, Hyacinthe Dubreuil, avait déjà réclamé une réorganisation des entreprises dans cet esprit, au milieu de ce siècle. Cet ouvrier métallurgiste, autodidacte, écrivait sur la condition ouvrière. Mais au rebours de son temps, il ne croyait pas au marxisme. Au lieu de prêcher la grande révolution, il attira l’attention sur les méfaits du taylorisme, sur les conditions du travail, davantage que sur l’indigence des rémunérations