La connaissance de la vérité qui est dans le Christ est une condition sine qua non pour vivre librement.

L’actualité récente et la crise sanitaire nous ont soumis à des restrictions de liberté inimaginables il y a seulement quelques mois : liberté de circulation, liberté d’entreprendre, liberté de culte…

La crise sanitaire a été le révélateur de la forte dépendance industrielle de la France et a contribué à faire revenir cette question au premier plan du débat public. Aujourd’hui, l’appel à la réindustrialisation semble faire consensus. Et dans ce processus, les territoires ont un rôle décisif à jouer.

L’élan missionnaire nous pousse à partager largement notre foi au Christ qui nous veut enracinés en une terre et tendus vers le large (Duc in altum).

Le bonheur que nous promet le Christ n’est pas factice ni artificiel. Il se construit dans une intimité profonde avec lui. Il s’enracine dans la foi et se nourrit dans la contemplation de ce que Dieu fait en nous et par nous.

Depuis la loi Pacte de 2019, l’entreprise a la possibilité, optionnelle, de formuler et d’inscrire sa raison d’être dans ses statuts.
Une évolution qui s’inscrit dans une réflexion plus générale sur une meilleure gestion de l’entreprise, au-delà de sa dimension financière.

Le bonheur que nous promet le Christ n’est pas factice ni artificiel. Il se construit dans une intimité profonde avec lui. Il s’enracine dans la foi et se nourrit dans la contemplation de ce que Dieu fait en nous et par nous.

Répondant à l’appel du pape François dans Laudato Si’, ce dossier nous invite à emprunter un chemin de conversion pour nous faire leaders du bien commun.

Sans être un ermite, Jésus s’est isolé pour se préparer à sa mission dans le silence, avant de revenir et d’entrer en dialogue parfois difficile avec des personnages bien distincts. Le plus brutal et violent épisode est advenu dans sa confrontation avec le diable (1).

Ce dossier invite à poser un regard chrétien sur le télétravail et, au-delà des débats qu’il suscite, propose des éléments de discernement pour remettre l’Homme au centre, en veillant à ne pas laisser les plus fragiles au bord de la route.